(...) Le groupe joue dans le noir et devant un �cran qui diffusera pendant tout le set des courts m�trages dont je ne garde aucun souvenir. L’homme de gauche tient une guitare, c’est le monsieur post rock du groupe. L’homme de droite est planqu� derrière des machines et je ne sais quoi d’autre. C’est lui le monsieur exp�rimental.
Tous les deux portent des lunettes de soleil bien �paisses ce qui ne doit pas rendre les choses �videntes lorsque on joue dans l’obscurit�. A ma grande surprise je reconnais l’homme aux machines : il est aussi responsable de la bonne conduite du label [walnut + locust], ce qui du coup a tendance à me rassurer quelque peu pour la suite.
Effectivement sur une base sonore dense, compact (un truc assez ind�finissable mais que l’on pourrait qualifier de musique industrielle) et visiblement g�n�r�e par un laptop, le duo arrive à poser des ambiances mouvantes mais pas d�sagr�ables, presque m�lodieuses, en tous les cas accrocheuses.
J’arrive à oublier le son de guitare trop typique -ce son qui me transforme invariablement en Joseph Goebbels du bon go�t musical- et l’un des titres jou�s (le troisième?) me parait particulièrement r�ussi en ce qui concerne l’�quilibre masse/a�ration, ou bruit/m�lodie si on pr�fère, et enlève d�finitivement mes dernières r�ticences d’autant plus que le guitariste laisse de côt� les sons de guitare trop a�riens. Tom Smith, chef spirituel et gourou de TLASILA est invit� à rejoindre .cut pour un dernier titre. Pendant que les deux musiciens s’�vertuent à cr�er un vrai mur du son, Mr Smith envoie sur un ton de s�nateur un poème de son cru.(...)
(Hazam - Heavy Mental - Mai 2008)
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20|05|2006 (11:55) / Concerts au caveau de la F�e Verte jeudi dernier.
Trois groupes de la r�gion �taient à la f�e verte ce soir. (...) On enchaine, après une petite bière, par .CUT FEATURING GIBET qui ont envoy� leur post rock exp�rimental laissant tout le monde sans voix. Pour ma part, ils ont livr� les meilleures interpr�tations de leurs chansons. Même si j'ai loup� leur performance au CCO qui, d'après les musiciens, �tait m�morable. (...)
(Feuf - www.dam-lyon.com - Mai 2006)
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Gibet et .cut sont dans la place, .cut bandel� de noir mais on reconnait son inimitable & sympathique bouille___ (...) Cela promet. La salle ne se remplit guère (?????? personnes) tandis que les premières notes jaillissent des guitares et d�moniaques machines entre les mains expertes de .cut et Gibet (belle chemise_tu as du go�t). Le son post rock industriel est là, rigoriste et angoissant (vive Slow riot for new zero kanada) ... maisl'auditoire ne semble pas captiv� : il est tôt, la salle est aux trois quarts vide, le public est à peine tiède, davantage affair� à se d�salt�rer et à �changer quelques mots avec Pierre-Paul-Jacques qu'à se concentrer sur la tragique prestation sc�nique ... "Nous avons v�cu un drame". Les deux furieux ont du m�rite, leur tâche ne fut pas ais�e. (...) Bravo et 100000000 merci à .cut feat. Gibet qui a h�las souffert d'une attention assez limit�e de la part de son auditoire. Leur musique est tragique à souhait et m�rite d'être cogit�e. (...)
(Angelo - Meiose Radiotransmission - Septembre 2005)
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.CUT FEATURING GIBET (Fr/post-rock industriel): www.dotcut.fr.st au Kab/Usine/Genève
Avec son embourbement têtu dans la musique industrielle de la 1ère g�n�ration, .cut est d�finitivement exon�r� de toute sorte de logique. L'emballage de .cut, ce sont les machines low tech, les plugings d'ordi et la r�alit� de quelques instruments du siècle pass�. .cut, c'est aussi la d�ch�ance de vos tympans, le d�chaussement de vos molaires et le lyrisme de votre �tonnement... à condition bien sur, de ne pas se retrouver avec un voisin qui perce ses murs un dimanche matin de gueule de bois...
(Baron VonSmock - Agenda ElectroDark / Urgence Disk, Genève - Ao�t 2005)
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LIVE REPORT: HOCICO / SPETSNAZ / .CUT FEATURING GIBET
La F�e Verte, Lyon, 07/11/2004
(...)Une première partie locale de Lyon du nom de .CUT FEATURING GIBET ouvre la soir�e dans une optique plutôt industrielle exp�rimentale. Le duo est revêtu d'une tenue longue blanche ainsi que d'un bandage sur toute la tête, une �vocation �vidente du groupe culte electro-indus des ann�es 80 qu'�tait le premier groupe de Dirk Ivens c'est-à-dire Klinik. Musicalement rien à voir. Il s'agit d'une musique ambiante industrielle exp�rimentale allant crescendo, en ce sens qu'on a un son dont le rythme (on va dire plutôt la vitesse car ce n'�tait pas une musique rythmique…) ou le bruit s'accroît/ s'enrichie/ s'intensifie au cours de la plage; des sons qui parfois font �cho à de la "musique �trange 70", �voquant le film "Voyage au centre de la terre" ou encore le groupe Theatrum Chemicum. (...)
(Laurent - lahordenoire.free.fr - 2004)
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